Le Global Language Monitor qui recourt à une formule mathématique pour définir le suivi et la fréquence d'utilisation des termes a expliqué que Web 2.0 était apparu à 25.000 reprises dans ses recherches et qu'il était par là même légitimement devenu le millionième mot de langue anglaise.
Pure fraude, invention, vire affabulation, les termes restent polis, mais plus vraiment courtois. Mais Paul Payack, président de GLM s'explique avec franchise : pour savoir combien d'étoiles sont dans le ciel, il faut savoir ce qu'est une étoile. « Nos critères sont assez simples et si vous les suivez, vous pouvez compter les mots. La plupart des universitaires estiment que ce que nous faisons est très précieux. »
Alors Web 2.0 ou pas, reste que le terme, s'il a gagné le million, commence à lasser les internautes...