Finalement, j'ai trouvé THE porte-bébé, un classique de chez classique d'une marque dont le nom ressemble à celui d'un tennisman suédois...
J'ai essayé plusieurs modèles sophistiqués mais trop de réglages avant de tester celui-ci, qui s'enfile comme un gilet et se monte en deux clics !
Pour ne rien gâcher, à l'intérieur de l'emballage, un catalogue au top de la hype montrant des parents jeunes et fashion utilisant leurs porte-bébé. Rien à voir avec mon écharpe de portage qui, dans son manuel d'utilisation, montre une mémé très moche qui fait la démo avec un poupon en plastique (et pourtant, j'en voulais une, d'écharpe)... Dans un cas, je m'identifie ! (Le premier, bien sûr !)
Le fait d'avoir mon propre porte-bébé a un gros avantage : comme je suis la seule à l'utiliser, pas besoin de modifier sa taille etc.
C'est vraiment un achat important : j'ai pu aller faire un peu de shopping dans les (petits) commerces de mon quartier avec mon fils bien installé contre moi. J'envisage même de peut-être travailler à l'ordinateur avec mon enfant dans le porte-bébé : ça ne m'enchante à cause des ondes, ce ne sera que du dépannage...
Un système de portage est un bon compromis pour pouvoir "avancer" dans ses activités quotidiennes sans laisser pleurer. J'éviterai bien sûr de manier la poêle à frire. Ca tombe bien ! Je ne cuisine presque jamais...
Ah, au fait, pour l'écharpe, j'ai trouvé en librairie, un ouvrage entier sur le sujet. Je vais peut-être y arriver !
En supplément gratuit, la chanson qui est aussi le titre de la note (TO CARRY = porter ; TO CARRY ON = continuer). Un chef-d'oeuvre du hard rock mélodique signé Angra, un groupe brésilien...