TITRE : La grande course de chars à voiles
ÉDITEUR : Robert Laffont
RÉSUMÉ : Le Chant de la Terre, dont La Grande Course de chars à voiles constitue l’ouverture, est l’un des cycles les plus étranges et les plus réussis de la science-fiction.
Le Chant de la Terre est supposé extrait d’un chant épique qui relate l’histoire de l’humanité, plus quelques autres, et qui a tant proliféré au fil des temps qu’il faudrait plus d’un siècle pour le réciter en entier. Nous ne disposons donc que de fragments en cinq volets, La Grande Course de chars à voiles, La Locomotive à vapeur céleste, Les Dieux du grand loin, Le Gnome et Le Roi de l’île au sceptre.
Le cycle conte la mésaventure d’un presque dieu, Starquin le Cinq-En-Un, qui, se promenant dans l’univers des aléapistes, autrement dit des possibles, se trouva piégé quelque part dans l’espace par les champs de mines d’une guerre interstellaire future. Malgré ses pouvoirs, il risque d’y périr d’inanition au bout de quelques millénaires si l’histoire ne peut être réécrite afin de le libérer.
La Grande Course de chars à voiles constitue le prologue du cycle, et se situe dans un Brésil futur, en un temps où la technologie sauvage qui a menacé de détruire la Terre a été oubliée et où la sculpture des êtres vivants a pris sa place : Karina, l’héroïne du roman, est une félina, issue d’un croisement de Vrai Humain et de chat, elle a la beauté d’une femme et la souplesse d’un fauve, sa cruauté et sa violence. La vie lui fera rencontrer Raoul, le fils du capitaine indomptable, tandis que se déroule sur un rail unique, à travers forêts, jungles et marais, la terrible, la fantastique grande course de chars à voiles…