souffrances abyssales

Par Plouf
j'ai retrouvé la lampe à la lumière vive,
quand autour de moi nulle âme qui vive,
comme un silence lourd qui règne dan mes nuits,
pour sortir du vide qui envahit ma vie!
 hélas qui peut dire, prétendre me comprendre,
 quand à l'orée du jour avant de me surprendre,
 je découvre la mort là tout près de mon lit,
dans une pièce vide qui sonne l'hallali.

 J'AI PERDU MA SOUFFRANCE DANS CE COMBAT ULTIME,
et je pleure en silence , innocente victime,
dans le noir du jour je veux crier ma peine,
et là devant la mort me libérer des chaines.
 mais l'angoisse morbide me poursuit inlassable,
 elle couvre mes jours et mes nuits insatiable,
attendre patiemment jusqu'à mon heure ultime,
 que je me réveille un jour là tout prés de l'abîme!