Le marché norvégien est un marché particulièrement dynamique. Au contraire de certains pays comme la France, la consommation a tendance a augmenté. Depuis 10 ans, elle a pratiquement doublé selon la mission économique de Norvège (Source site de la mission économique). Entre 2005 et 2006, le marché du vin en volume a augmenté de 4,1% pour atteindre 6717 milliers de litres, doit 12,5 litre/hab. En 2006, ce marché représente 59% du marchés des vins et spiritueux.
Les acteurs les plus dynamiques sont les argentins et les portugais. Les premiers enregistrent une croissance de leur part de marché dans les segments des vins blancs et des vins rouges avec respectivement 42,6% et 19,7% de hausse entre 2005 et 2006.
La France encore premier fournisseur de la Norvège s’est fait prendre la 1ère place en 2006 par l’Italie pour les vins rouges et par l’Allemagne pour les vins blancs. L’offre française bénéficie d’une bonne image et reste encore trop complexe par rapport à des acteurs plus actifs cités précédemment.
Le marché norvégien est particulier par la structure de son circuit de distribution. Le monopole de la distribution est assuré par Vinmonopolet qui représente 80 % du marché (le circuit CHR représente 15% du marché). Cette situation permet aux importateurs et aux clients d’avoir recours à un seul interlocuteur.
Le marché norvégien est un marché particulièrement attractif car le PIB par habitant y est très élevé. Les consommateurs sont sensibles à l’image de la France et sont attachés aux marques. Le marché est en croissance mais les acteurs sont nombreux (Argentine, Chili, Bulgarie, Allemagne, Autriche, Afrique du Sud, Hongrie…) et la concurrence très agressive.
Pour en savoir plus lisez la fiche de la mission économique de Norvège.
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