En réaction, l'écrivain portugais, lauréat du Prix Nobel de littérature 1998, a signé un article incendiaire à l'encontre de Sylvio Berlusconi. Paru dimanche, ce texte qualifie le chef du gouvernement italien de « délinquant », de « virus ». José Saramago revient dans ses lignes sur les précédents, en matière de délits, concernant l'homme politique italien.
Alors qu'il est au pouvoir, Sylvio Berlusconi se permet d'organiser des orgies. Mais, face à ces accusations publiques et à la publication de photos d'ordre privée, l'avocat du chef du gouvernement italien ne pouvait rester sans réaction. Il a annoncé qu'il avait l'intention de porter plainte contre le quotidien espagnol El Pais.