Voilà, le PS vient de prendre une grosse branlée. Le mot n'est pas trop fort. C'est pourtant le seul parti qui est à même de battre Sarkozy en 2012. On pourra dire que c'est la même chose partout en Europe. Cela ne calmera pas ma résignation et ma mauvaise humeur ce soir.
Voir Xavier Bertrand entouré des deux traitres que sont Eric besson et Xavier Morin, chacun avec son passé, me semble le symbole même de cette victoire de l'UMP.
J'ai l'impression d'avoir été battu, une fois de plus, par des second couteaux sous le haut patronage d'un président qui ne mérite qu'un vulgaire bottage de fesses. Cela redouble mon engagement... et ma détresse ce soir.
Le journal de la fessée