« L’anonymat : préparation à la mort. N’être déjà plus personne.
Tout a un nom. Les rues ont un nom – les chevaux, les chiens, les ministres. Même Dieu. Il s’appelle Dieu. C’est comme ça qu’on l’appelle. Il ne répond pas, c’est son affaire, mais il n’a pas tout à fait réussi à devenir anonyme. […] »
Georges Hyvernaud, Lettre anonyme, Editions Le Dilettante, p.11.
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