Quelques lignes plus loin, on notifie à la France de "poursuivre l'amélioration du cadre général de la concurrence dans les secteurs des services". Autrement dit de privatiser plus vite!
"Ces problèmes doivent être réglés, poursuit le texte, tout en respectant l'objectif d'encadrement des coûts annoncés par le gouvernement, à savoir une croissance zéro des dépenses publiques"
Ainsi, c'est très clair, le Conseil Européen réclame plus de concurrence, d'attaques contre les secteurs et services publics et de nouvelles diminutions des dépenses publiques et sociales, alors que l'argent coule à flot pour les banquiers et les multinationales sans aucune contrepartie pour l'emploi et les salaires. Il faut réclamer la transparence en exigeant que ce document sorte de la confidentialité.