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Cette information de dernière heure, si elle devait se confirmer, met un terme à toutes les hypothèses qui ont peu s’établir sur les circonstances de l’accident et plus particulièrement la dislocation de l’appareil en vol plutôt qu’en contact de l’eau.
On attendait aussi de connaître la nature de la nappe pétrolière découverte en mer, pour écarter l’hypothèse de l’incendie à bord, or la aussi on apprend qu’il ne s’agit pas de kérosène , le carburant des avions, mais d’huile moteur en provenance d’un navire.
Pour le moment, les recherches se poursuivent sur une zone de 180 000 km2, soit sur une surface correspondant au tiers de celle de la France, avec un nombre accru de navires, de moyens aériens et de détection.