9 Millions de téléspectateurs américains ont été bouleversés par l'émouvant et déchirant documentaire sur le combat de Farah Fawcett, diffusé par la NBC et tourné pendant les longs mois que la "Drôle de dame" à passés en Allemagne, où elle a été traîtée avec un traîtement alternatif non autorisé en Amérique. Un très long extrait est disponible sur le net (Merci Nouvel Obs) On y voit entre autre la comédienne se confier avec ces mots:
- " Je souffre d'un cancer anal. Cette maladie est mystérieuse, forte et n'a aucune règle. Mon cancer est jusqu'à maintenant incurable. Je sais que tout le monde meurt éventuellement, mais je ne veux pas mourir de cette maladie"
Comme je le disais la semaine dernière, la maladie s'est propagée, et la comédienne reste désormais alitée, ne reçoit plus aucun traîtement, et est nourrie au au moyen de sondes intraveineuse! Ses proches, dont son père, âge de 91 ans se sont rendus à Los Angeles...Et nous, il ne nous reste plus qu'à prier. Tous les précédents billets sur :
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LES COMMENTAIRES (2)
posté le 25 juin à 16:19
Tu as tout à fait raison, au nom de l'espoir, il se pratique tout et n'importe quoi, il ne faut pas croire au miracle quand un quand un cancer est bien avancé, je compaties à ta douleur,
Et nous ne devons pas oublier que nous servons aussi de cobaye, pour des nouveaux médicamentrs, pratique abjecte, sur des personnes déjà bien atteinte, on en rajoute un peu plus.
Ce monde est immonde....
posté le 21 septembre à 22:43
J'ai vu le reportage sur la TNT sur le combat de Farah Fawcet face au cancer. Je n'étais pas sur la même longueur d'ondes sue le fait d'être prêt à subir un traitement à n'importe quel prix pour vivre 1 an et demi de plus. J'ai perdu mon fils ainé d'un cancer du cerveau alors qu'il n'avait que 2 ans 1/2, apres 16 mois de traitement. De quel droit faisons subir des traitements atroces et douloureux à des adultes et à des enfants, sous le principe que la vie n'a pas de prix. les 3 der niers mois de mon fils ont été un vrai cauchemar pour lui comme pour son entourage. A-t-on le droit de faire subir cette vie horrible à qui que ce soit? Avec le recul, je ne ferais pas subir à quique se soit un traitement lourd, où les patients perdent toute dignité et leur vie que traumatisme, douleur, souffrance.