Il y a en guise de présentation de la musique de Tim Pearson, un poème d’E.A. Robinson, que je vais essayer de traduire: “Chers amis, ne me reprochez rien de ce que je fais, ni conseil, ni pitié, ne me dites pas non plus que je gâche ma vie à faire des bulles, alors que seuls les fous persévèreraient ainsi (…) et rappelez-vous, si vous y consentez, que la honte que je récolte à chanter est à moi seul. Et que l’or que j’ai perdu à rêver est tout à vous.”
[MP3] Tim Pearson - The Devil’s Son
[MP3] Tim Pearson - America