Magazine Poésie
Je n'ai aimé que toi ô ma douce trop belle, j'ai attendu longtemps pour être à tes côtés, et d'écouter ma mère que je me suis trompé, sur vingt ans d'une vie d'un amour tronqué, elle n'était pas
pour moi et n'était même pas belle, son coeur empaillé a pillé ma semence, d'aussi loin que je vois je pleure quand j'y pense, de ces aînés maudits dont j'ai donné le nom, de ces graines souffrance
qui pillent ma conscience qui trichent et qui mentent se complaisent à canon, comme une lithanie sur les champs de bataille, j'aurais voulu la fuir et rechercher la faille hélas je n'ai pu sans
qu'ils souillent ma chance; je t'ai enfin trouvée ô perle de jouvence, je les ai oublié des tristes connivences, le bonheur enfin qui frappe à ma porte, et de leurs misères taries en lettres
mortes, car je n'aime que toi , Allah de ma vraie chance, qui m'a donné à toi enfin de sa présence!