La dédicace de Didier Van Cauwelaert est rédigée comme ceci: "Cette histoire d'une issue de secours dans un Magritte. Amical Souvenir." Etrange, puisque la seule chose que j'avais noté pendant qu'il parlait était l'expression : "ouvreur d'issue de secours". Elle me plaisait, elle me parlait, j'entendais "libération". Mais "mon" issue de secours n'est pas dans l'Empire des Lumières, elle est quelquepart cachée dans cet autre monde au sein duquel je navigue trop en ce moment. J'expérimente mon "Upper limit problem", le syndrome de : quand tout va bien, faut trouver quelque chose qui va pas. J'ignore encore la raison de ce mode de fonctionnement, mais je trouverai. Dans Second Life, il est facile de se tromper, de rêver, de s'illusioner, mais je ne vis plus dans aucune réalité, sinon la mienne, peut-être aurai-je la chance d'apercevoir une porte, lors d'une ballade bénie. En ce moment je ne fais rien et ça me ronge. Allons! En quoi est-ce important pour moi de ne rien faire?Je dois pouvoir trouver une réponse.