Pour des cultures avec ou sans OGM, la coexistence entre elles ne peut être rendue possible, selon la conclusion à laquelle sont parvenus deux cents équipes de chercheurs qui y ont travaille dans le cadre d’un programme européen pendant cinq ans, que par la création de zones dédiées aux unes et aux autres.
Il faut savoir que la production d’OGM augmente dans le monde et entraîne de nombreux incidents de disséminations involontaires, d’où l’ impureté des semences provoquées par des pollinisations croisées ou encore par la contamination via les machines agricoles.
Il reste à définir la taille des zones et la nature des barrières à mettre en place, pour éviter toute contamination accidentelle, en sachant que certaines plantes peuvent se disséminer sur 30 kilomètres.