“Nous rassemblons des informations, et nous en avons beaucoup, mais il reste encore l’interprétation des données.” A cette phase de l’enquête “ce sont des éléments bruts qu’il nous faut encore analyser“… C’est ce qu’ a déclaré le BEA lors de sa conférence. Le BEA travaille en effet d’arrache-pied à la collecte d’informations afin de mieux comprendrec ce qui s’était réellement passé. Selon M. Arslanian les messages envoyés depuis l’A330 au centre de contrôle brésilien avant l’accident, sont des messages automatiques et de maintenance. Ils ne permettent donc pas de tirer des conclusions… “Ils donnent une indication sur ce qui a pu se passer” mais “il faut encore les mettre en perspective.”