«Quoi ! L’horreur de souscrire à cet ordre inhumain,
n’a pas, en le traçant, arrêté votre main ?»
Iphigénie
En 1959, l’histoire d’une découverte scientifique, saluée par le monde entier, débutait avec l’espoir de guérir les enfants qui souffrent de mongolisme. Des lors, Jérôme Lejeune, en découvrant l'origine de cette maladie, appelée depuis «trisomie 21», ouvrait la voie à la généthique moderne.
Aujourd’hui, dans le cadre de la révision des lois de bioéthique, un livre «La Trisomie est une tragédie grecque», dénonce le sacrifice des plus faibles dans un consensus généralisé. L’auteur, Jean-Marie Le Méné, lève le voile sur une tragédie : le choix politique de la France de supprimer le malade, à celui de se donner les moyens d’éradiquer la maladie.
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Le livre de Jean-Marie Le Méné, frappe à la porte de notre conscience qui se fera, à coup sûr, l’écho de son cri…
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«De quels sacrilèges les croyants devront-ils s’indigner si la négation de l’Incarnation ne les bouleverse pas ?».
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«Tout est grec dans la trisomie : le mot, la dramaturgie, le regard des parents déchirés par des choix inhumains, le sacrifice des plus faibles, mais aussi, au-delà de la tragédie, le bleu éternel du ciel et de la mer qui donne une grandeur inestimable à tout séjour sur terre, même diminué aux yeux du monde».
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Jean-Marie Le Méné cherche des héros pour cette tragédie : «des hommes politiques pour défendre l’égalité de leurs concitoyens, des scientifiques pour revendiquer leur liberté, un peuple qui n’attend ni les uns, ni les autres pour témoigner d’une fraternité sans exclusive. Le dénouement de la tragédie de la trisomie, entre nos mains, reste à écrire».
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La Trisomie, devient dans la main de Jean-Marie Le Méné, un pavé dans la mare de l’eugénisme. Il ne tient qu’à vous d’en jeter d’autres en lisant et diffusant son livre !-anne.kerjean