Il m’arrive fréquemment, face à une oeuvre qui disperse mes repères au point de m’aspirer dans sa réalité (une chanson de Matt and Kim, une prod Rockstar, un film de Clint Eastwood, un gâteau de la pâtisserie tulliste Claude Rochais), d’ignorer mon manque criant d’imagination et de détermination pour m’écrier mentalement ”Bloody oursin, j’aurais aimé être l’auteur de cette prodigieuse [...]