Une fois la catastrophe annoncée, on ne peut qu’envisager, sans la moindre certitude, toutes les causes possibles, des turbulences qui peuvent briser un avion, la panne électrique générale due à la foudre, ou encore un acte de terrorisme, en attendant la récupération des boîtes noires dont l’interprétation devrait permettre de lever cette incertitude.
Ce matin, grâce au repérage par l’aviation brésilienne de débris flottant sur l’eau au large des côtes, que tout avion, au départ de Rio en direction de l’Europe doit longer avant la traversée de l’Atlantique qui devrait être ceux de l’A 330 d’Air France, il sait possible de situer le lieu de l’impact et de passer à la recherche des boîtes noires.
La localisation et la récupération des boîtes noires au fond de la mer est toujours un exploit, la France va s’y employer, comme elle le fait, généralement avec succès, par la mise en œuvre des moyens de recherche et d’exploration sous martine, dont elle dispose.