Dans l’une des séquences d’Étreintes brisées, Pedro Almodovar met en scène la photogénie de son actrice-fétiche, Penelope Cruz, en la rapprochant du look d’Audrey Hepburn, la “Fair Lady“, l’une des actrices les plus élégantes de l’histoire du cinéma. À la différence de Quentin Tarantino, qui fonde l’écriture de ses films sur le monde de sa cinéphilie, Almodovar, quoique très connaisseur des films classiques et de ceux de ses contemporains (comme il l’a montré dans l’entretien accordé aux Inrockuptibles), ne sature pas ses scénarios de telles références, mais en joue simplement, avec beaucoup de goût...Lire la suite.
Dans l’une des séquences d’Étreintes brisées, Pedro Almodovar met en scène la photogénie de son actrice-fétiche, Penelope Cruz, en la rapprochant du look d’Audrey Hepburn, la “Fair Lady“, l’une des actrices les plus élégantes de l’histoire du cinéma. À la différence de Quentin Tarantino, qui fonde l’écriture de ses films sur le monde de sa cinéphilie, Almodovar, quoique très connaisseur des films classiques et de ceux de ses contemporains (comme il l’a montré dans l’entretien accordé aux Inrockuptibles), ne sature pas ses scénarios de telles références, mais en joue simplement, avec beaucoup de goût...Lire la suite.