Le responsable de l'Imec (Institut mémoires de l'édition contemporaine), Albert Dichy, a affirmé : « Duras avait dit qu'elle avait écrit quelques textes pour gagner de l'argent pendant la guerre. Quand on lit ce texte-là, on voit qu'elle l'a écrit à la va-vite, pour gagner de l'argent. Mais c'est du Marguerite Duras ».
La lecture d'Arielle Dombasle de Caprice était la première lecture publique de ce texte. La comédienne a déclaré à l'AFP : « Cela ressemble au Duras de la dernière partie de sa vie. Cette ponctuation, cette syntaxe, cette musique durassienne ». La lecture a duré presque une heure et environ 500 personnes étaient présentes.