A deux semaines du scrutin, l'institut Ipsos évoque une abstention supérieure à 60 %, les Français s’apprêtent donc à dire un NON péremptoire à la politique bruxelloise technocratique et sans âme. Une démobilisation sans précédent. Ils ne veulent pas être gouvernés par le Nouvel ordre européen qui se prépare. Ils l’ont déjà dit à l’occasion des scrutins précédents, mais ça ne suffit pas à ceux qui utilisent la démocratie comme un instrument d’asservissement des peuples européens. Les dirigeants politiques français et européens persistent et signent. Ils vont vers la débâcle et la révolte des populations mais n’en ont que faire. Ils ne veulent pas entendre les messages de cette France, de cette Europe d’en bas qu’ils méprisent et qu’ils ignorent. Leur seul intérêt est la perspective d’une place bien rémunérée au parlement européen.Catholiques en campagne