1993, Harry Bosch s’occupe de la disparition de Marie Gesto. 10 jours sans nouvelles. Ses vêtements sont retrouvés pliés dans une voiture.
2006, après une retraite anticipée Bosch a repris du service dans l’Unité des Affaires non résolues de la police. Il est convoqué par l’adjoint au district-attorney car un homme accusé de meurtres est prêt à faire des déclarations sur 9 homicides dont celui de Marie en échange d’un plaider ocupable lui évitant la peine de mort.
Bosch est contre cette décision même s’il doit interroger Waits pour vérifier ses dires. Il en ressort sceptique.
Par contre, le district attorney découvre dans l’enquête de 1993 un élément non vérifié qui aurait pu amener à l’assassin qui a opéré jusqu’en 2008.
Rebondissement.
Harry va suivre toutes les pistes qui mènent à Waits. Il veut se réhabiliter car il culpabilise de ne pas avoir vérifié cet élément de 1993.
Mas la partie est plus dure que prévue et ce qu’il découvre démontre la cupidité des uns et des autres pour passer à travers les mailles du filet même si cela fait tomber un innocent.
Analyse psychologique, remords d’un inspecteur qui n’a jamais laissé tomber une affaire non résolue. Il estime que cet élément non vu aurait pu mettre en prison un homme sans qu’il tue de nouveau. Mais Bosch est tenace, bon flic, il n’abandonne pas. Histoire politique avec des élections qui se profilent pour l’attorney. Ce sont les plus petits qui trinquent.
Un boulot d’enquêteur pour remonter les pistes. Il a des soupçons qui se révèlent faux, il n’est pas fier mais son premier instinct est le bon. Un peu long à se mettre en place mais on a besoin de tous les éléments pour faire le lien. A lire.