Ce qui en résulte c'est une autofiction drôle et savoureuse dans laquelle il n'est pas forcement aisé de se plonger mais que l'on quitte à regret. Et pour en savoir plus suivez le guide vers notre chronique sur Peur de vivre de Mathieu Fortunio.
Avec Peur de vivre, Mathieu Fortunio n'a pas voulu écrire un roman pas plus qu'une autobiographie. Non, il voulait écrire des lettres à ses amis présents ou futurs (c'est vrai ça pourquoi on n'écrirait pas aux gens que l'on ne connaît pas) sur ses vacances à Paris.
Ce qui en résulte c'est une autofiction drôle et savoureuse dans laquelle il n'est pas forcement aisé de se plonger mais que l'on quitte à regret. Et pour en savoir plus suivez le guide vers notre chronique sur Peur de vivre de Mathieu Fortunio.
Ce qui en résulte c'est une autofiction drôle et savoureuse dans laquelle il n'est pas forcement aisé de se plonger mais que l'on quitte à regret. Et pour en savoir plus suivez le guide vers notre chronique sur Peur de vivre de Mathieu Fortunio.