Je ne vous cache pas le sourire ironique que j’ai décroché à la lecture de cet article du New-York Times ! Je passe régulièrement pour un arriéré passéiste ici-même lorsque mon impertinence ose aller à l’encontre du modernisme ambiant. Je ne vois toujours pas l’intérêt de posséder une liseuse, si ce n’est pour stocker des dossiers professionnels en voyage d’affaires. Et encore, je préfère emporter mon micro portable… Bref. D’aucun prétendent mordicus que les liseuses ont de l’avenir. Mais que va-t-il se passer quand ils devront se battre contre le piratage des oeuvres par le biais d’Internet ? C’est ce qui est arrivé à l’auteur de science-fiction Ursula K. Le Guin quand elle a découvert des copies de certains de ses bouquins sur le site de téléchargement Scribd en accès libre et gratuit. Ni elle, ni son éditeur n’avaient donné leur accord bien évidemment. Les écrivains n’avaient pas peur jusqu’à présent d’être piratés comme les chanteurs et musiciens, car la technologie pour scanner un bouquin était fastidieuse. Sauf qu’on n’arrête pas le progrès ! Les propriétaires de ces sites jurent sur la tête de leurs maîtresses que ces copies illicites sont peu nombreuses et qu’ils font le nécessaire pour couler les pirates. Sauf que l’on sait pertinemment que c’est ce genre de faille qui attire le client. Non ? Les éditeurs sont incapables de chiffrer le manque à gagner. Mais il n’y a plus de raison pour que ce phénomène prenne de l’ampleur. D’autant que certains écrivains, comme cet âne bâté de Cory Doctorow, proposent carrément des exemplaires numériques gratuits dès la parution de leurs livres. Ils prétendent que ça fait vendre… On trouve toujours des gens qui scient la branche sur laquelle ils sont assis ! Vous allez dire que je suis tordu, mais qu’est-ce qui empêche un écrivain de couler un rival en mettant en ligne des copies gratuites de ce dernier ? Hein ? Posted in Accès par le bureau, Le monde numérique Tagged: Liseuse, Livre électronique, Monde numérique, New-York, Uursula K. Le Gun
Je ne vous cache pas le sourire ironique que j’ai décroché à la lecture de cet article du New-York Times ! Je passe régulièrement pour un arriéré passéiste ici-même lorsque mon impertinence ose aller à l’encontre du modernisme ambiant. Je ne vois toujours pas l’intérêt de posséder une liseuse, si ce n’est pour stocker des dossiers professionnels en voyage d’affaires. Et encore, je préfère emporter mon micro portable… Bref. D’aucun prétendent mordicus que les liseuses ont de l’avenir. Mais que va-t-il se passer quand ils devront se battre contre le piratage des oeuvres par le biais d’Internet ? C’est ce qui est arrivé à l’auteur de science-fiction Ursula K. Le Guin quand elle a découvert des copies de certains de ses bouquins sur le site de téléchargement Scribd en accès libre et gratuit. Ni elle, ni son éditeur n’avaient donné leur accord bien évidemment. Les écrivains n’avaient pas peur jusqu’à présent d’être piratés comme les chanteurs et musiciens, car la technologie pour scanner un bouquin était fastidieuse. Sauf qu’on n’arrête pas le progrès ! Les propriétaires de ces sites jurent sur la tête de leurs maîtresses que ces copies illicites sont peu nombreuses et qu’ils font le nécessaire pour couler les pirates. Sauf que l’on sait pertinemment que c’est ce genre de faille qui attire le client. Non ? Les éditeurs sont incapables de chiffrer le manque à gagner. Mais il n’y a plus de raison pour que ce phénomène prenne de l’ampleur. D’autant que certains écrivains, comme cet âne bâté de Cory Doctorow, proposent carrément des exemplaires numériques gratuits dès la parution de leurs livres. Ils prétendent que ça fait vendre… On trouve toujours des gens qui scient la branche sur laquelle ils sont assis ! Vous allez dire que je suis tordu, mais qu’est-ce qui empêche un écrivain de couler un rival en mettant en ligne des copies gratuites de ce dernier ? Hein ? Posted in Accès par le bureau, Le monde numérique Tagged: Liseuse, Livre électronique, Monde numérique, New-York, Uursula K. Le Gun