Je n’aime pas, pour plein de raisons valables à mon sens mais que je n’exposerai pas ici, la comparaison de l’écriture avec un accouchement. Même si Socrates etc.
Je n’adhère pas aux comparaisons.
Je vais en oser une, cependant.
L’écriture ressemble à l’escalade d’une montagne.
Et les gens qui vont en montagne (je ne vous parle pas de ceux qui partent en tong et shorts hein) , sont souvent confrontés à quelque chose de très très difficile à apprendre, à apprivoiser : le renoncement dans le sens “je reporte”.
Pas envie d’en expliquer davantage. Je suis épuisée. C’est trop épuisant de rester, jour après jour, en vie. : )