Pourtant, selon le Parisien, éminente source de commérages s'il en est, le président apprécie les livres et à l'occasion d'un périple en avion qui le menait avec sa horde de journalistes vers les Émirats Arabes Unis, le voilà qui se pique de littérature et avoue son plaisir d'avoir lu Les particules élémentaires de Michel Houellebecq. Probablement sou l'influence de Carla, qui avait lu un extrait de La possibilité d'une île au cours d'un mariage.
Moderne, donc, notre président. Mais quand il évoque Céline ou encore Sartre, on s'étonne, on s'enthousiasme. Et vint cependant le drame : prolixe et en verve, Nicolas s'attaque à Émile Zola, et s'épanche sur les Roujon-Macquart.
Si, si... Roujon. Et pas Rougon.
Et pas un prof de français dans l'avion pour lui expliquer...