Tout les ans c'est la même chose, presse écrite, télé, radio, internet : impossible d'y échapper.
Pourtant, ce festival semble déconnecté du grand public. Il pourrait être renommé Festival du film cérébral et soporifique. Alors que les films populaires n'y ont pas droit de cité, chaque année on nous impose cette auto congratulation où les connivences règnent en maitre au millieu des paillettes. Promis, après deux billets de (mauvaise) humeur, le prochain coup je tente quelque chose de plus positif !