Si je vous disais, que chaque bouffée d’air est une insulte,
Pourriez-vous me frapper, me faire du mal,
Planter dans ma tête, afin de faire cesser cette fable,
Une lame blanchie par le feu afin que la mort en résulte.
Je n’ai pas besoin de faire encore croire que je vis,
J’ai perdu le seul but que je m’étais donné de suivre,
Sans en trouver d’aussi écrasant, d’aussi vitale,
Je le déteste et pourtant, sans lui, tout n’est que fable.
— Eleken,
A l’écoute de mozart, verdi et d’autre