aux uns bons bardés… de références
& autres mauvais drapés sous un linceul d’indifférence
D’entre les sentes
entre nos mains
lèvent 1 000 odeurs
L’OTAN qui passe, hélas… ah ! - Saints ?
D’entre les sangs
contre nos seins
pulsent 1 000 haleurs
Le tank, kippa [c’est l’as] a ceint…
D’entre les hanches,
hantant nos reins,
ont dû – dolente heure
Autant qu’y passe : hais l’assassin !
D’entre les fentes
montent nos feintes,
vibrent tant d’art, d’heurs…
L’optant perc’… pis casse : ASSAS, hein ? *
D’entre les sens
(centres des liens)
fusent 100 cris – mœurs…
On tue le temps ? – Tuons-nous, Dame –
ou re-
naissons en fin des cendres
de nos élans fu-ri-eux/tendres
(mais évitons de nous étendre…)
Tandis que tel
con va-t-en-guerre
joues hissons ; de-bouts :
« GAAAR-DE AMOU-OUR ! »
* gardien, en langue arabe
Vanessa Lascin
(18/01/2009)
Sieg… où n’êtes ?
à toi, à moi !
Sur un bourrin
dans le Bas-Rhin *
Sur un’ bourrique
(avait la trique)
Par un matou
à Tombouctou
Par un cosaque
à Ouarzazate **
En paquebot
par un Pablo
A Bamako
par Ionesco ***
Dans un bunker
non loin du Caire
Au cours d’un bad
Gaza/Bagdad
Sur une mule
(et sans pilule !)
A Arkhangelsk
par un teckel
Sur quel atroce
rhinocéros ?
Sous les frimas
et à Lima
Sans rien entendre
(il n’ put, ah – tendre !)
Avec douceur
par un farceur
Mais sans égards
ni crier « - Gare ! »
par l’ chef de gare
Edgar Jmégare :
- dépucelée !
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 07 août à 10:16
Bonjour,
Ils sont violemment géniaux ces deux poèmes, un grand bravo !
Merci