Nouvelles idées :
- Dans les 3 derniers, il y avait une scène trop longue. Était-ce voulu ? Ça ressemble à une phase de dégel : au-delà de l’instant trop long la personne défend un point de vue alors qu’elle a changé d’avis. Comme le montre la scène d’après.
- D’une manière générale, Rohmer semble s’intéresser à l’opposition entre actes et paroles.
- Il fait des événements insignifiants du quotidine quelque chose qui emplit l’écran, exactement comme dans notre vie. Mais à l’opposé des histoires invraisemblables que racontent d’habitude les films.
- Reste ce marivaudage très littéraire : parlons-nous ainsi ? Les proches de Rohmer parlent-ils ainsi ? Ou est-ce un moyen de rendre agréables une discussion qui, sans cela, semblerait insupportable, ou vide ?