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Bien des polémiques se fondent autour du géant Google… Et il y a de quoi…
Google est aujourd’hui la marque la plus chère au monde en terme de valeur (étude réalisée par le cabinet Millward Brown) avec une progression de 16% : elle vaut 100 milliards de dollars ! Le second au classement, Microsoft coûte 25 milliards de moins…
Bien des questions se posent de façon redondante sur ce big brother qui n’a de cesse de “surveiller” ses utilisateurs… Au rayon des polémiques : le ciblage par centres d’intérêts ou encore Google Latitude (le meilleur moyen de suivre vos proches à la trace).
Le géant d’Internet n’est néanmoins pas à l’abri de problèmes liés aux ressources humaines… En effet, Google a récemment du faire face aux départs de nombreux cadres s’estimant “sous-utilisés”…
Mais il ne laissera pas cela passer ! Et non Google a déjà trouvé la parade…paraîtrait-il ! Et tout cela réside dans… UN ALGORITHME… Magique !
Une formule mathématique lui permettrait donc d’identifier les personnes susceptibles de quitter le groupe. L’algorithme repose sur l’identification des promotions obtenues, l’historique des salaires et tente de mettre en avant quels sont ceux qui ont la plus forte probabilité de quitter le groupe.
Le directeur des ressources humaines de l’entreprise, Laszlo Bock, a indiqué au Wall Street Journal que cet algorithme pouvait aider Google “à rentrer dans la tête des gens bien avant qu’ils ne sachent qu’ils pourraient vouloir partir”. Que Google puisse définir vos centres d’intérêt passe encore mais qu’il puisse lire dans les pensées de ses salariés, cela a quelque chose d’effrayant…
Les responsables de Google refuse d’évoquer en détails cette formule, toujours en phase de test, mais ils auraient déjà identifié les cadres “qui avaient le sentiment d’être sous-utilisés, un reproche majeur parmi ceux qui envisagent de partir”, explique le Wall Street Journal.
Google bien qu’à la pointe des innovations semble manquer d’intérêt pour certains de ses salariés qui lui préfèrent les sites de socialisation tels que Twitter et Facebook (c’est le cas de David Rosenblatt, en charge de la publicité, et Sukhinder Singh Cassidy, présidente de la division Asie-Pacifique et Amérique latine qui ont démissionné). Par ailleurs, certains employés du groupe considèrent que Google perd de ses talents car ils ne bénéficient pas d’assez d’influence au sein de la société.
Malheureusement face à cette situation, la solution la plus logique et sensée semble être de l’ordre des relations humaines et de la communication interne et non des sciences exactes qui ne servent qu’à pointer du doigt un salarié en doute.
… A quand le licenciement pour avoir songé quitter notre cher Google ?
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