Conseils achat dans l'ancien à Toulouse

Le magazine capital du mois d'avril avait parlé dans un article précédent traitant de la baisse de l'immobilier, spécial immobilier, avec des conseils à ses lecteurs avec quelques astuces pour les futurs acquéreurs sur le marché immobilier de l'ancien.

Ainsi il ne faut pas se laisser impressionner dans les prétentions des vendeurs, surtout ceux qui ne passent pas par des agences immobilières, concernant le prix qu'ils avancent. Peu informés parfois des prix pratiqués sur le marché de l'immobilier dans leur ville, Toulouse ne faisant pas exception, beaucoup s'accrochent à un prix supérieur à celui du marché et n'hésitent pas à proposer les mêmes prix que ceux qui étaient en vigueur il y a un an. C'est au potentiel des acquéreurs de négocier pour faire baisser le prix à ce qu'il devrait être. À Toulouse comme dans la plupart des grandes villes en France, la dépréciation de la pierre et la chute du nombre de transactions ont inversé le rapport de forces entre acquéreurs et acheteurs. Les experts s'accordent à dire que pour la première fois depuis 10 ans, ce sont les acheteurs ont pris le pouvoir sur les vendeurs. Tout est donc bon pour obtenir une réduction.

Autre astuce fournie par la plupart des agents immobiliers, si après quatre ou cinq mois après la mise en vente d'un logement n'a pas trouvé preneur c'est que son prix supérieur à celui du marché visiblement. Il est donc temps de proposer des offres inférieures aux prétentions des vendeurs. Il est donc intéressant de repérer les biens proposés par une poignée d'agences immobilières dans le quartier toulousain qui vous attire le plus et vous renseignez depuis combien de temps ils sont au catalogue des agences immobilières.
Lors des visites des différents biens si ces derniers sont vides, il est fortement probable que le vendeur souhaite vendre pour raisons de divorce, de succession, ou bien encore de mutation professionnelle. Dans ces cas, vous pouvez tout à fait penser que ce dernier souhaite vendre relativement rapidement. Il n'est pas rare dans ce genre de cas de négocier à la baisse de 10 à 15 %.
Autre possibilité de négociations sur le prix, faire baisser la commission des agents immobiliers. En ces temps très difficiles pour leur secteur d'activité il est loin d'être impossible de faire baisser les commissions des agences. Ces derniers ne rechignent plus à baisser leurs commissions car le nombre de transactions s'est considérablement réduit depuis plusieurs mois. Ainsi le magazine conseille de faire baisser les taux de commission si ces derniers sont supérieurs à 7% pour une petite surface ou 4% pour un bien familial. Il ne serait en fait pas rare d'alléger la facture de prêt de 30 %.