Intervenu durant le Sydney Writers' Festival hier, il explique combien le muscle qu'est notre cerveau doit être entretenu et que pour ce faire, l'apprentissage et la pratique des langues permettent d'améliorer grandement notre état. « Et la plupart des gens n'ont pas pratiqué de langues étrangères depuis le lycée », ajoute-t-il.
Et de fait, une nouvelle compétence acquise rejaillit sur les autres, dans un mouvement bien connu de vases communicants. Exercer son cerveau, et son corps, en apprenant des danses, c'est s'ouvrir à la compréhension d'autres et leur maîtrise, de façon plus aisée.
« Travaillez, prenez de la peine, c'est le fonds qui compte le moins », disait le volubile Jean. Et Doidge de le rejoindre sur ce point : « Si vous considérez votre cerveau comme quelque chose d'usé, c'est de l'auto-défaite. » Alors qu'il y a tant à apprendre...