C‘est le film dont nous avons tous besoin en ce moment. Loin de la crise, d’Obama, des talibans, du conflit israélo-palestinien, de la grippe, des grippes ou de la « banane » du président, une petite merveille a surgi pour nous au festival de Cannes. Une étoile brillante au firmament de nos rêves et de notre imaginaire. Une histoire d’amour, anglaise en diable, un drame romantique, les amours et la mort du poète John Keats. « Bright Star » de Jane Campion, fera pleurer dans les chaumières. Certes, mais il nous donne deux heures de bonheur absolu grâce à un petit génie qui ne fréquente pas les réalisateurs et cinéastes français, celui du talent de la reconstitution historique...Lire la suite.
C‘est le film dont nous avons tous besoin en ce moment. Loin de la crise, d’Obama, des talibans, du conflit israélo-palestinien, de la grippe, des grippes ou de la « banane » du président, une petite merveille a surgi pour nous au festival de Cannes. Une étoile brillante au firmament de nos rêves et de notre imaginaire. Une histoire d’amour, anglaise en diable, un drame romantique, les amours et la mort du poète John Keats. « Bright Star » de Jane Campion, fera pleurer dans les chaumières. Certes, mais il nous donne deux heures de bonheur absolu grâce à un petit génie qui ne fréquente pas les réalisateurs et cinéastes français, celui du talent de la reconstitution historique...Lire la suite.