En réponse à un commentaire de Stéphane Vazia, chef defile du PS au Conseil municipal, Vincent Brack ("Crab") dérape gravement : "Tout
simplement stupéfiant…..politicards de merde ! Je vote pour mais je
suis contre et c’est nous qui ne comprenons rien à votre vote. In fine
je ne sais pas si nous avons eu tord de rejoindre Puteaux Ensemble mais
ce qui est sûr c’est que j’ai bien fait de quitter le PS. 13% ! C’est
votre heure de gloire, préparez-vous aux heures sombres ! Descendez
davantage aux enfers, crevez ! Crevez tous ! Et mon vote plus jamais
vous ne l’aurez ! Vous pouvez vous le mettre au cul ! Continuez, et à
mon tour je fais mien l’adage du Camarade Top qui osais proférer qu’il
préférait la victoire des Ceccaldis à celle de Grébert, plutôt Ceccaldi
que socialiste."
"Crevez, crevez tous !", voilà des propos chocants, indignes et inadmissibles de personnes qui prétendent à des fonctions publiques. Etrange sous la plume de personnes qui se réclament de l'éthique et qui prétendent défendre la démocratie à Puteaux. Alors, si je comprends bien, leur conception de la démocratie, c'est de souhaiter à leurs adversaire de "crever".
Voilà qui éclaire sous un nouveau jour le comportement des mes ex-colistiers restés fidèles à Christophe Grébert. Cela aidera les plus circonspects à comprendre pourquoi je ne pouvais pas continuer à être complice de cela en taisant la vérité aux Putéoliens et donc pourquoi j'ai choisi d'apporter publiquement mon soutien à notre maire, Joëlle Ceccaldi-Raynaud.
Vincent Brack, l'auteur de ces propos nauséabonds était candidat à la tête de la section locale du MoDem de Puteaux en novembre dernier avec le soutien de Christophe Grébert, de Sylvie Cancelloni, de Pierre Creuzet et du Sénateur Maire de Ville d'Avray, Denis Badré. Il n'en est pas à son coup d'essai. Pendant la campagne pour la direction du MoDem, il avait déjà agressé une militante MoDem, Annie Keszey, ex candidate sur la liste Puteaux Ensemble, qui tentait de s'opposer à lui. Ni Christophe Grébert, ni Sylvie Cancelloni, ni Pierre Creuzet, ni Denis Badré n'avaient alors condamné son attitude.
Ceux-ci approuvent-ils à nouveau de tels propos ? Le MoDem 92 va-t-il réagir et sanctionner son adhérent, ou bien optera-t-il pour un silence complice ?
Stéphane Vazia et les militants socialistes apprécieront !