L'écurie italienne, qui disposait d'un droit de véto sur les règlementations futures, reprochait en effet à la Fédération Internationale de l'Automobile d'avoir fait voter sans son consentement la limitation des budgets à 45 M€ lors du dernier Conseil Mondial, fin avril.
Le TGI de Paris a estimé que Ferrari n'avait pas de raison valable de s'opposer à cette règlementation et a jugé dans une déclaration : "Il n'existe aucun dommage imminent qu'il conviendrait de prévenir, ou un trouble manifestement illicite auquel il faudrait mettre un terme dans le règlement mis en cause."