C'est sûr.
Depuis feue Queen Mum, l'indéboulonnable et toujours souriante (on dit qu'il n'y avait pas que du thé dans sa tasse en porcelaine ) locataire de Buckingham Palace et le pudding anglais, un gloubi-boulga unique et peu apprécié hors frontière, mais que personnellement, je trouve so delicious, la patrie d'Albion ne nous avait rien fait de mieux.
D'autres rajouteront qu'il y eu Benny Hill, la chips au vinaigre, Kate Moss, Pete Doherty, Charles et le Prince William, Marks & Spencer ou encore Topshop.
Mais on dira ce qu'on voudra, l'Angleterre ne nous avait rien fait de mieux depuis.
Sauf Robert Peter Williams.
Le bad boy de la pop anglaise. Le dandy qui a le don de me transformer en groupie de rock star prête à jeter ma petite culotte à la face de mon idole.
Robbie et moi, c'est une très longue histoire d'amour qui remonte l'époque du boys band Take That. Oui, certaines de mes références musicales ont une saveur douteuse, M'enfin, c'est Robbie quoi.
Et Robbie c'est Robbie.
Que voulez-vous, (S)he's one Live @ Knebworth 2003
Lors de l'unique concert où j'ai pu le voir, il a carrément réussi à provoquer une demande en mariage en plein stade, mettant ainsi à mal la gent féminine présente et suscitant l'hystérie collective parmi les autres groupies venues voir leur idole.
Donc, que voulez-vous, c'est Robbie.