A Rome, il semble que ces mois de vacances, le mois d'août en particulier, ne ressemblent pas au cours tranquille du Tibre.
Le top 10 des lamentations des Romains
1. Les vacances se sont mal passées
Cela peut paraître étrange. Pas si l'on considère les griefs qui suivent.
2. La hausse des prix
Elle affecte non seulement Rome et les grandes villes, mais aussi les villes plus petites, où le peu de commerçants ouverts ont profité du manque de concurrence pour augmenter leurs prix.
3. Les transports publics
Déjà en petite forme en temps normal, il semble que certains bus se refusent à atteindre jamais leur destination finale !
4. Les services publics
En France, le service minimum fait débat. A Rome, il semble qu'il ait été adopté sans problème : postes fermées, médecins en vacances, horaires réduits ou continus,...La liste est longue.
5. La télévision
Cette chère télévision. A dire la vérité, je la regarde peu et d'autant moins en Italie. Sans vouloir lui faire offense, je lui trouve un intérêt tout relatif. Il semble que le summum soit atteint en été avec les rediffusions en boucle, d'année en année depuis 1997, de l'inspecteur REX. Sévit-il aussi en France ?
6. Les amendes
Comme les fruits de saison, elles se multiplient.
7. La fermeture des commerces
Même le cinema Metropolitan, via del Corso, ferme au mois d'août. Connaissez-vous des cinémas fermés en août sur les Champs-Elysées ? Si oui, faîtes le nous savoir !
8. Les travaux en cours
La circulation n'est déjà pas des plus faciles en temps normal...
9. Les services téléphoniques
Successions d'appels commerciaux non sollicités, même après 20h !
10. Les restaurants
Le service à cette période de l'année ne semble pas être le point fort des restaurants.
(Recueillies par les associations de défense des usagers et des consommateurs)
Que cela ne vous empêche pas de venir visiter Rome. De toutes les façons, juillet et août n'est pas, selon moi, la période la plus intéressante pour venir visiter la capitale.
Si toutes ces raisons ne vous suffisent pas, voici le meilleur antidote : vacances romaines, le film.