4h04 d’un nouveau jour
Mon corps en plein éveil
Écoute la lumière fine
De la course de l’Univers
Crépiter dans ses neurones
Les muscles me jettent
Hors de moi vers la vie
Que je guette tel un faucon
Pour ne pas en perdre une miette
Par l’urgence imminente
De l’explosion d’un désir
Un déclic me hurle
De ne pas attendre
Au loin dans mon cœur
Je cherche la flamme
Qui brûle toujours
Et ne saurait s’éteindre
Elle seule sait
Que je sais savoir
Que je ne connais
Hélas pas l’amour.