Ns voisins grands bretons sont sous le choc, leurs parlementaires bénéficieraient de grasses et jouffluers notes de frais, leur permettant un joli train de vie, .
La presse française, ravie, en parle à satiété, oubliant que notre beau pays a vu successivement nos députés, et notre Bien Aimé Président s'auto attribuer de jolies augmentations.
Augmentation suivies de l'explosion des frais des budgets divers, l'Élysée, le ministère de la Justice, pour ne citer qu'eux.
Dernier exemple en date, le tout petit pied à terre de Gérard Larcher, candidat au prix Gaymard de l'année? Un Larcher qui se faisiat fort de réduire le train de vie du Sénat s'il en devenait le président. Il n'avait d'ailleurs pas hésité à dézinguer Poncelet son prédecesseur pour un e affaire de ce genre.
En France,on évoque vaguement tout ça, et le sieur Larcher accuse Backchich d'ourdir un complot contre son auguste personne, gaffe chez Backchich, vous allez vous transformer en Coupat moyens.
les députés anglais donnent dans le népotisme ? Vieille tradition également de notre république bananière.
Appuyons quand même sur le fait que ce sont les travaillistes qui sont englués dans cette marmelade, donc la gauche anglaise, prouvant ainsi qu'outre manche aussi la gauche est capable de toutes les turpitudes, démonstration tant souhaitée par l'UMP.
Oubliée la glorification de l'Angleterre, enfin, celle du blairisme, cette maladie étrange qui consiste à confondre sa gauche et sa droite, qui se traduit en français par strauss khanisme ou bockelisme ( phénomène illustré aussi par les possibles rapprochements PS/Modem)
L'Angleterre n'est plus un modéle, oubliée la période où s'expatriaient nos jeunes requins de la finance, direction la City, repère de winners non gangrenés par l'assistanat à la française, toc, les voilà de retour au pays des 300 et quelques fromages, transformés en whinners, courant après le cachet ASSEDIC.
Bon, comme ces jeunnes gens n'aiment pas les limitations du code du travail français, peut être seront-ils volontaires pour le travail dominical qui revient à l'Assemblée