Difficile de décrire l'oeuvre de Marion Franzini, où domine une forme ovoïde qu'elle appelle "son monstre". Ses tableaux abstraits sont à la fois légers et profonds, mêlant différentes techniques : collages, feutre gouache, acrylique, huile, pochoir…
Au fond de l'atelier, on arrive dans l'antre de Nicolas Aulagnier, qui travaille sur l'illusion de la peinture : à partir d'un travail informatique singulier, il compose des tableaux assemblant de multiples petites toiles. L'une de ses oeuvres (Les 400) est d'ailleurs modulable. Mais comme je ne suis pas critique d'art et qu'on ne peut juger une oeuvre que par soi-même, je vous invite vivement à aller voir sur place. Le talent n'attend pas !
Photo : Les "boîtes" de Marie Thouin, un travail sur la mémoire et le voyage. Ses étagères, où l'on fouiner impudiquement.