Le transalpin a cependant été suppléé par le vice-président de la FOTA, John Howett (patron de Toyota F1), et le directeur de la Scuderia Ferrari, Stefano Domenicali, qui défendra les intérêts de l'écurie de Maranello.
Une partie ou même l'avenir de la Formule 1 se jouait vendredi à Londres. Les écuries rencontraient pour la première fois la FIA, depuis sa décision de mettre en place un plafonnement des budgets à 45 M€ et un championnat à "double vitesse" qui fait beaucoup de parler de lui, pour la saison prochaine. Cette limitation financière est optionnelle : les équipes l'acceptant disposeront d'avantages techniques énormes, au contraire de celles préférant rester maître de leur barque. Les représentants des équipes ne sont pas entièrement réfractaires à cette mesure mais estiment qu'elle a surtout été prise sans leur consentement.