Quel bonheur pour moi de découvrir des gourous, des directeurs ou des évangélistes du marketing qui partagent mon point de vue et qui assimilent les différentes problématiques liées au secteur des réseaux sociaux et de la publicité (ce que l’on assimile dans une terminologie commune : Social Advertising)
Il y a une tendance, non cautionnée par les puristes que nous sommes, à placer l’ensemble des nouveaux moyens de communication utilisés dans la sphère Internet sous l’ombrelle « New Media » en considérant cette forme plus communicative là où les formes plus anciennes de « médias » seraient plus des places de contenus +/- adroitement encadrés de messages publicitaires. explique Cédric.
Il résume ensuite le coeur du frein à l’évolution du social advertising :
l’ensemble des plate-formes sociales ne sont pas des médias mais des plate-formes permettant d’interagir, de créer des relations, bref, de constituer un réseau.
1 => Le média n’est pas le support.
People are attracted to people.(…)You are in a relationship; it goes both ways
explique Bryan Eisenberg.
Effectivement, la force d’un réseau c’est sa faculté à générer des interactions, à mettre en ébullition la communauté et attiré les individus de sociotype similaires.
2 => La segmentation et l’interaction augmentent les intérêts de chacun.
A mon avis il faut rajouter un troisième facteur génant, l’indicateur ! Tant que les instituts et annonceurs parleront en pages vues et visites (donc en terme de trafic) nous aurons un souci. La publicité n’est plus à l’heure de la diffusion massive: Les indicateurs doivent évoluer, 100 000 visiteurs est un beau chiffre, mais 5000 visiteurs segmentés, connus, profilés et exactement dans ma cible c’est un meilleur chiffre…
3 => Nous devons migrer vers un mode ROI et échanges.