Essai du tous nouveau BIXI!

Publié le 13 mai 2009 par Sergentrecruteur

Ce midi, j’ai essayé, avec mon collègue, le tout nouveau BIXI, le vélo libre-service de la Ville de Montréal.

En arrivant à la borne payante Bixi, je touche l’écran tactile, j’insère ma carte de crédit et imprime mon code ( c’est le même fonctionnement que les parcomètres). Avec le petit papier sur lequel mon code est imprimé, je me rends au vélo de mon choix, tape le code et clic! le vélo est débarré du “rack à bicyk”. Premier problème: je veux payer le vélo à mon collègue mais le système refuse. En faisant un appel de service, on m’explique que la carte de crédit  permet qu’UN vélo par carte. PAS PRATIQUE DU TOUT. Si je suis un touriste et que je veux offrir une sortie familliale à ma famille, je ne pourrai le faire.  Et en plus, j’ai perdu près de 20 minutes de gossage.

Me voici sur un BIXI le jour de son innauguration

Tant pis, on essai le Bixi à deux, chacun son tour. Première impression: solide! confortable! agréable. l’essai dans une cote en montant est concluant: les trois vitesses sont bien étagé. C’est un vélo très agréable à conduire. Vraiment.  

Autre petit problème qui devrait être rapidement réglé: Les stations Bixi n’ont pas  tous été installés. ce qui fait que d’un point A au point B, le point B n’avait pas de stations encore dispo. Le resto prévu pour mon diner à du être annulé faute d’espace poru le garer. Car il faut le laisser dans un espace prévu à cet effet pour ne pas avoir à payer un supplément et surtout, ne pas avoir à en être responsable ce qui est merveilleux: en ressortant du resto, je pourrai prendre n’importe lequel des vélos sur le rack. Je n’aurai pas eu à stresser à savoir si mon vélo s’est fait voler. Bref, une tranquillité d’esprit supplémentaire.

 Conçu par Michel Dallaire, le Bixi a été construit en collaboration avec l’entreprise du Saguenay Devinci ainsi qu’avec Rio Tinto Alcan. Un arrêt prolongé autour du rack, nous examinons le vélo. Vraiment impressionant! une petite lumière est encastré à l’avant et flash lorsque le vélo roule. La selle est ajustable en hauteur. Les vitesses sont facilement changeable. il y a une petite clochette de caché mais bien placé. le porte bagage est bien pensé. les freins sont dans la roue. même les pneus ont un fllancs blanc réfléchissants. C’est un petit chef d’oeuvre de design. Bravo et félicitation à toute l’équipe.

 COMMENT CA MARCHE:

C’est facile! Il s’agit d’inssérer votre carte de crédit dans la fente prévue. Vous recevez un code sur un papier: Vous choisissez un vélo (n’importe lequel) vous faite le code sur le rack ou votre vélo est situé, puis HOP!

5$ seront retiré de votre carte. vous avez droit à 30 minutes.  Vous devez donc prévoir retourner le vélo à une station avant les 30 minutes. Mais vous pouvez le reprendre après pour un autre 30 minutes. L,idée est que l’on ne veut pas que vous gardier le vélo pour la nuit chez vous, bref que vous l’accapariez. Et puis 30 minutes, c’est plus que sufisant pour 99% des trajets à Montréal. Vous le prenez pour un rendez-vous, pour une course, vous le stationnez dans une station et au retour, HOP! vous devez remmettre votre carte de crédit à chaque fois dans la borne de paiement pour obtenir un autre code, car on ne veut pas que le petit papier contenant le code puisse servire à voler un vélo. Donc le code est uniservice, ce qui est bien pensé.  

Il s’agira du cinquième réseau en importance en libre-service, après ceux de Paris, Lyon, Barcelone et Shanghaï. «C’est une première nord-américaine, a précisé M. Tremblay. Nous avons avec Bixi une véritable vedette internationale. Même le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a dit qu’il était mieux que le Vélib’.»