Paru le 2009-05-13 12:17:00
Pays-Bas - Réduire les émissions de CO2 de 40%, c'est ce que Shell espère réaliser grâce aux techniques de captage et de séquestration du dioxyde de carbone. La compagnie pétrolière aimerait, à long terme, prendre en charge les émissions de ses concurrentes afin d'allier écologie et profit.
Le 23 avril, Shell recevait l'aval d'experts en environnement pour lancer son programme de stockage de CO2 sous terre. Malgré l'inquiétude des habitants et du maire de Barendrecht (Pays-Bas), la compagnie pétrolière a l'intention de commencer le captage et la séquestration sous deux quartiers de la ville. Six projets supplémentaires sont en cours de réalisation et d'autres encore devraient rapidement suivre.
Selon les responsables de Shell, ce projet pourrait permettre une réduction de 40 % des émissions de CO2. Si, pour l'instant, les techniques utilisées pour les capter et les enterrer sont extrêmement coûteuses, la compagnie affirme qu'elles pourraient devenir très rentables d'ici quelques années.
Shell envisage de prendre en charge le stockage des émissions d'autres compagnies pétrolières afin de bénéficier des subventions et autres avantages offerts pour les projets visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Et comme l'explique le directeur général Jeroen Van der Veer, "Personne ne connaît le coût que ces systèmes auront lorsqu’on les lancera à une échelle commerciale large".
Si les dangers liés à l'enterrement des émissions de CO2 ne sont pas encore connus, le PDG de Shell ne semble pas inquiet, "Nous pensons que nous pouvons le faire sans danger" a-t-il déclaré.
LES COMMENTAIRES (2)
posté le 31 janvier à 23:27
Conclusion : L’existence de conflits d’intérêts entre deux agences de l’ONU, l’Agence Internationale pour l’Énergie Atomique, dont l’objectif principal est la promotion des centrales nucléaires dans le monde. L’Agence Internationale de l’Energie désinforme la réalité et communique des chiffres gonflés sur les réserves pétrolières et gazières pour rabaisser les prix du baril au profit de l’approvisionnement des superpuissances grandes dévoreuses d’énergie Des voix s’élèvent au sein des ONG des commissions, contre les lobbies mais cela ne suffit pas encore à les faire trembler. Les scientifiques qui osent, preuves à l’appui, se positionner contre les thèses officielles sont méprisés et décrédibilisés, ceux qui persistent voient leur carrière brisée, s’ils ne terminent pas en prison. N.B Le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l’injection de CO2 à In Salah dans le Sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L’interférométrie radar a permis d’observer une élévation de la surface du sol de 5mm par an sur des kilomètres… Expert en énergie (Algérian Society For International Relations) Laisser un commentaire
posté le 31 janvier à 23:27
Conclusion : L’existence de conflits d’intérêts entre deux agences de l’ONU, l’Agence Internationale pour l’Énergie Atomique, dont l’objectif principal est la promotion des centrales nucléaires dans le monde. L’Agence Internationale de l’Energie désinforme la réalité et communique des chiffres gonflés sur les réserves pétrolières et gazières pour rabaisser les prix du baril au profit de l’approvisionnement des superpuissances grandes dévoreuses d’énergie Des voix s’élèvent au sein des ONG des commissions, contre les lobbies mais cela ne suffit pas encore à les faire trembler. Les scientifiques qui osent, preuves à l’appui, se positionner contre les thèses officielles sont méprisés et décrédibilisés, ceux qui persistent voient leur carrière brisée, s’ils ne terminent pas en prison. N.B Le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l’injection de CO2 à In Salah dans le Sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L’interférométrie radar a permis d’observer une élévation de la surface du sol de 5mm par an sur des kilomètres… Expert en énergie (Algérian Society For International Relations) Laisser un commentaire