La magazine Capital s’est livré a une ambitieuse enquête sur “les vrais revenus de nos élus”. L’exercice est toujours instructif, quoi qu’un peu populiste. Toujours est-il que élus niçois n’ont pas échappé à l’analyse de Capital. Voilà ce que ça donne, par ordre alphabétique :
Patrick Allemand (PS) : 6697 euros (à noter que depuis quelques semaines, il n’a plus son mandat de conseiller général - 2683 euros - mais a récupéré son job d’attaché territorial)
Eric Ciotti (UMP) : 9730 euros
Paul Cuturello (PS) : 4071 euros
Christian Estrosi (UMP) : 9730 euros
Rudy Salles (Nouveau Centre) : 11630 euros
D’autres élus azuréens cumulards se distinguent également :
Bernard Brochand (UMP) : 9730 euros
Honoré Colomas (UMP) : 8165 euros
Marc Daunis (PS) : 9730 euros
Dominique Estrosi-Sassone (UMP) : 8165 euros
Alain Frère (UMP) : 8165 euros
Jean-Claude Guibal (UMP) : 9730 euros
Jean Icart (UMP) : 7006 euros
Benoit Kandel (UMP) : 3898 euros (s’y ajoutent désormais 2683 euros au titre de son nouveau mandat de conseiller général du 12ème canton de Nice, soit 6581 euros)
Jean-Pierre Leleux (UMP) : 9730 euros
Lionnel Luca (UMP) : 9447 euros
Muriel Marland-Militello : 9730 euros
Louis Nègre (UMP) : 9730 euros
Henri Revel (UMP) : 8165 euros
René Vestri (UMP) : 9730 euros
A noter enfin que l’écologiste André Aschieri se distingue une fois de plus. Il reverse à sa commune de Mouans-Sartoux ses émoluments de maire et son salaire de vice-président de la communauté d’agglomérations est redistribué à ses conseillers municipaux. André Aschieri ne perçoit en définitive que son traitement de conseiller régional : 2627 euros. C’est tellement rare que ça mérite un coup de chapeau.