« Je suis déçu que de si misérables tactiques aient eu cours durant cette élection, et je ne veux pas me lancer dans une course pour un poste dont l'élection pourrait embarrasser ceux qui voteraient en ma faveur », explique le poète.
L'éditeur du poète, Farrar, Strauss & Giroux, a refusé de commenté ce qui avait eu lieu, tout comme il avait refusé de le faire à l'époque, mais évidemment, la déception se lit dans les paroles de celui qui a soutenu le poète toutes ces années.
L'une des enseignantes de l'université, Mme Lee a tout de même tenu à prendre la défense du poète, en expliquant que c'est la qualité poétique que l'on devait juger pour ce poste et non des faits relevant de « l'interaction sociale » (sic !).
Cette campagne de dénonciation anonyme, a pesé sur le poète avait tout de « la tentative d'assassinat », a-t-il conclu.