Ce n’est plus le mental qui singularise les champions. Dיsormais c’est la consommation de cocaןne. La mךme semaine le tennisman franחais Gasquet et le cycliste belge Boonen se sont fait prendre par la patrouille.
Chez les cyclistes le phיnomטne est tellement courant qu’on le banalise. Boonen - rיcent vainqueur de Paris-Roubaix en voltigeant - ne s’est mךme pas fait licencier par son employeur Quick Step, un spיcialiste de la moquette. (A poser pour le fabriquant, א fumer pour son coureur vedette)
En revanche, le cas Gasquet soulטve la tempךte et l’exclue du Tournoi de Roland Garros א titre conservatoire.
Une batterie d’avocats planche sur la dיfense de l’icפne du Team Lagardטre. Et tout laisse א penser qu’au bout du compte on nous fera croire que Gasquet a consommי de la cocaןne א l’insu de son plein grי.
Dיjא on nous fait remarquer que les analyses capillaires sont nיgatives. C’est א dire qu’il n’est pas addict א la consommation de cocaןne.
Maintenant, on nous dit que le taux se resserre א propos des traces relevיes dans ses urines. Elles ne sont plus 1,45 microgramme par millilitres mais 151 nanogrammes par millilitre d’aprטs son agent.
Bref, la ligne de dיfense consiste א attיnuer les doses au maximum א dיfaut de trouver la quantitי nיgligeable susceptible de blanchir le consommateur Gasquet.
En attendant, la bataille fait rage entre ceux qui condamnent sans rיserve l’utilisation par un champion de substances interdites et ceux qui trouvent plein de circonstances attיnuantes au dיrapage de Gasquet.
Ceux qui essaient de nous expliquer que "se droguer ce n’est pas se doper" doivent ךtre les mךmes que ceux qui prיtendent que "sucer n’est pas tromper" !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble