Certes, les mastodontes du web et des nouvelles technologies subissent aussi la crise financière de plein fouet. Tous les jours et quel que soit le support (presse écrite, télévion radio, Web) on entend parler des ennuis de Microsoft, de Yahoo! et autres. Même Google a annoncé la suppression de 200 postes dans les service commerciaux et marketing.
Il est difficile de rester positif dans une période de crise. Le Web n'échappe pas aux licenciements et fermetures. La situation devient également tendue pour tous les sites à fort trafic qui n'ont pas trouvé de modèle économique. On déplore par exemple la récente fermeture de Scoopéo (210.00 visiteurs uniques par mois - 500 euros de chiffre d'affaires par mis provenant de la publicité ) un des Digg-Like français le plus réputé.
Cela dit à coté de ces tristes nouvelles se dessine un nouveau paysage économique avec des petites structures, plus souples et réactives. Et le Web n'y est pas pour rien.